
Partout, les peuples attendent que les gouvernements surmontent des intérêts nationaux et répondent aux crises actuelles avec un texte de référence international sur l’obligation de responsabilité. Nous demandons aux individus et aux organisations de soutenir notre Appel pour aller vers une Charte de responsabilités universelles. Lisez, signez et faites passer !
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L’APPEL AUX GOUVERNEMENTS qui suit lancé par les membres du Forum Éthique & Responsabilités fait appel aux Gouvernements des Etats Membres des Nations Unies à prendre la décision historique et courageuse de mettre en marche un processus vers la création d’une Déclaration universelle des Responsabilités humaines pour compléter la Déclaration universelle des Droits de l’homme. Les peuples autour du monde attendent de leurs gouvernements qu’ils répondent aux crises actuelles en dépassant leurs intérêts nationaux pour créer un texte de référence international relatif à l’obligation d’assumer la responsabilité, d’évaluer les impacts des décisions de grande envergure et de répondre des conséquences des actions.
Tout individu et toutes les organisations sont invités à signer également cet APPEL afin de multiplier et de renforcer la voix des peuples du monde.
Vous pouvez télécharger la version imprimée du texte suivant ainsi que l’avant-projet de la charte pour en prendre connaissance. Si vous voulez soutenir cet appel, contactez Edith Sizoo (cliquez sur son nom et allez en bas de la page pour avoir un formulaire permettant d’envoyer un message) pour l’informer que vous voulez signer, en indiquant :
votre nom
votre pays
votre adresse e-mail (elle ne sera pas visible en ligne)
votre organisation et/ou profession (précisez si vous signez à titre individuel ou au nom de votre organisation)
vos commentaires (vos avis nous intéressent !) si vous le désirez.
La liste de signataires dans le texte en ligne n’affiche pas les adresses e-mail, uniquement les noms et organisations/professions.
pour une Déclaration universelle des Responsabilités humaines à mettre à l’ordre du jour de la communauté internationale
Nous soussignés, membres du Forum international Éthique & Responsabilités [1], représentants des réseaux professionnels et sociaux nationaux et internationaux, invitons nos gouvernements respectifs à montrer leur détermination à répondre aux crises actuelles qu’affrontent l’humanité et la planète.
Exaspération croissante
Dans de nombreux pays du monde les pressions sur les populations sont aggravées par des désastres environnementaux et les conséquences des crises financières et économiques. En outre, les espoirs de parvenir à des accords efficaces au niveau politiques international sont faibles.
Un chaînon manquant
La protection des droits de l’homme est établie dans la Déclaration universelle de 1948 et dans les conventions de mise en œuvre qui en sont issues et qui ont conduit à une jurisprudence nationale et internationale. Il n’existe aucun texte de référence international de cette envergure relatif à l’obligation d’assumer la responsabilité, d’évaluer les impacts des décisions de grande portée et de répondre des conséquences des actions, que les acteurs en soient des individus, des organisations, de grandes entreprises ou des gouvernements.
Et pourtant, la responsabilitéde sauvegarder l’environnement et d’assurer une vie digne aux générations présentes et futures, est une tâche commune que tous doivent partager à des degrés différents.
Combler un manque
Un nouveau texte éthique fondateur international est nécessaire, un « troisième pilier » de la vie internationale, comme complément indispensable à la Charte des Nations Unies, sur la paix et le développement, et la Déclaration universelle des droits de l’homme. Une Charte des responsabilités universelles donne l’assurance de stimuler l’application du principe de précaution, d’encourager une utilisation durable des ressources naturelles et d’augmenter l’équité et le bien-être sociaux. Par ailleurs, elle peut fournir une base juridique internationalepour contrecarrer les infractions à la responsabilité dans les divers niveaux et secteurs d’activité humaine.
1992… un moment d’espoir
Il y a vingt ans, le premier Sommet de la Terre a eu lieu à Rio. Il a suscité parmi bon nombre de personnes impliquées de grands espoirs de progrès mondial. Trois ans auparavant, le mur de Berlin était tombé et un nouvel ordre mondial de la paix était censé émerger, conforté par un élargissement du processus démocratique et du marché libre. En même temps le Sommet de RIO de 1992 a reconnu qu’il fallait trouver des solutions au changement climatique et à la dégradation environnementale. La notion de développement durable a été adoptée. Elle devait orienter les efforts pour mettre en cohérence les activités environnementales, économiques et sociales.
2012… désillusions
Vingt ans plus tard : qui pourrait nier la désillusion ? L’économie globale a produit de la prospérité, mais il reste des niveaux élevés de pauvreté et les inégalités ont sensiblement augmenté. Dans de nombreux pays, la cohésion sociale est en danger. Et malgré l’idée de développement durable, l’impact négatif réel des activités humaines sur la biosphère et leurs conséquences sur les êtres humains, ne fait qu’augmenter. Tout cela répand des doutes sur le modèle de développement dominant et la place qu’il laisse au capitalisme financier.
Des espoirs que la Conférence des Nations Unies, appelé Rio+20, tenue en juin 2012, renverserait la tendance, se sont avérés sans fondement. Parmi les citoyens, il y avait un sentiment généralisé que la Déclaration finale des Chefs d’Etat intitulé L’avenir que nous voulons, a démontré que de nouveau une occasion historique avait été ratée et cela d’une manière dramatique.
Après Rio+20 : comment avancer ?
Partout dans le monde, l’issue insatisfaisante de la conférence Rio+20 est l’objet d’une inquiétude généralisée. Parallèlement, un fort désir émerge des sociétés civiles de trouver un moyen d’avancer pour relever les défis de ce millénaire. Comment ?
D’abord, il faut aborder clairement la question de l’interdépendance mondiale. Les dirigeants politiques et économiques, dont les actions affectent le monde entier, n’ont à répondre qu’à leurs électeurs ou actionnaires, et ne sont contraints juridiquement que dans les limites de leurs lois nationales. L’interdépendance mondiale, cependant, exige l’obligation de répondre de ses actes au niveau international.
Deuxièmement, à l’ordre du jour international figurent : a) l’économie verte dans le contexte du développement durable et de l’éradication de la pauvreté et b) un cadre institutionnel pour le développement durable. Ces thèmes sont en effet valides. Cependant, se pose la question de savoir si les discussions sur ces thèmes traiteront de la crise fondamentale qui sous-tend les crises environnementale, économique, financière et sociale actuelles, c’est-à-dire l’absence d’un accord sans équivoque sur la question essentielle de qui est responsable de quoi et doit en répondre à qui.
La responsabilité… une notion universelle
L’idée de la responsabilité se trouve dans toutes les cultures. Elle est le cœur du tissu social, la base de la réciprocité dans les relations humaines et le corollaire des droits de l’homme. Tout comme l’interdépendance mondiale entre les pays, les responsabilités sont devenues universelles.
Nous pensons au Bangladesh et à d’autres pays de faible altitude ou aux États insulaires. Avec la montée des mers due aux gaz à effet de serre et au changement climatique, leur existence même est en jeu. Est-ce la conséquence de leurs propres actions, ou le résultat d’une négligence plus large ? Vers qui se tourner au moment où il faut produire un plan coordonné pour mettre un terme à ce crime silencieux contre l’humanité. Il faut identifier les responsabilités pour construire des chemins vers les solutions à de tels désastres.
Partout nous voyons émerger un appel à la responsabilité, typiquement illustré par un mouvement mondial en faveur de la responsabilité sociétale des entreprises. Il faut soutenir ces appels, leur donner une réponse politique au niveau international. Autrement, cela ne conduira qu’à une recherche de boucs émissaires.
Le moment est venu d’accepter le fait que l’interdépendance mondiale doit se traduire en directives internationales. Pour cette raison, il est nécessaire que l’Assemblée Générale de l’Onu construise un troisième pilier pour soutenir la communauté mondiale.
Les sociétés civiles ont pris les devants…
Au cours des dix dernières années, nous soussignés, participants du Forum international Éthique et Responsabilité, avons lancé avec des groupes sociaux et professionnels un processus dans quelque vingt pays autour du monde visant à créer des « cultures de responsabilité ». Étant donné la gravité sans précédent de la situation à laquelle est confrontée aujourd’hui l’humanité, nous estimons que le moment est venu de nous tourner vers nos gouvernements pour leur demander de suivre ces initiatives, de les consolider et les renforcer en établissant un texte de référence international sur les responsabilités humaines.
… les gouvernements suivront-ils ?
Nous appelons les dirigeants nationaux et internationaux à faire preuve de courage et de discernement dans leurs devoirs à l’égard de ceux qui les ont élus. Nous les appelons de s’engager, par une approche nouvelle et concrète à créer une « communauté de destin » basée sur la reconnaissance des défis à partager.
Nous nous trouvons au carrefour de l’histoire. Afin de créer un moment de changement décisif, nous invitons nos gouvernements à soutenir toute initiative d’un pays ou d’un groupe de pays visant à lancer un processus au niveau gouvernemental international qui établisse une feuille de route vers l’adoption d’une Charte des responsabilités universelles. [2]
Crédits photos :
(ci-dessus) Community Art - Responsibility par Roland Tanglao
(ci-dessous) Pen & Ink par Luca Zappa

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Partenaires du Forum Éthique & Responsabilités
Équipe de coordination générale
Coordinatrice générale : Edith Sizoo
Responsable des communications : Nadia Gianoli
Représentants des réseaux professionnels ou sociaux
Asian Alliance for Solidarity Economy – Économie solidaire : Ben Quiñones (Philippines)
IRESCA – Cadres d’entreprise : Michel Dessaigne (France)
European SPES-forum – Éthique des affaires : Hendrik Opdebeeck (Belgique)
Forum mondial de l’Economie responsable Lille – Responsabilité sociétale des entreprises : Climène Koechlin (France)
RESPONSE – Gouvernance & responsabilité environnementale : Te Kawehau Hoskins (Nouvelle Zélande)
Réseau International en Éducation à l’Environnement : Yolanda Ziaka (Grèce)
Droits et Responsabilités humaines : V.J. Byra Reddy (Inde)
Réseau de Juristes : Philippe Pedrot
Militaires artisans de la paix : Manfred Rosenberger (Allemagne/France)
Alliance internationale de journalistes : Manola Gardez (France)
Association Monde Pluriel etGlobal Classroom Initiative – secteur jeunes : Pinky Cupino (Philippines), Lydia Nicollet (France), and Delphine Leroux (France)
Animation de communautés : Nina Gregg (États-Unis)
Pactes sociaux : Diego Escobar (Colombie)
Migrants : Ricardo Jiménez (Chili)
Alliance internationale des habitants : Cristina Reynals (Argentina) etCesare Ottolini (Italie)
Retraités : Pierre Caro (France)
Global Ethics Network for Applied Ethics : Christoph Stueckelberger (Suisse) and Nadia Gianoli (Suisse)
Représentants Régionaux
ASIE : Sudha Reddy
AMÉRIQUE LATINE hors Cône sud : Isis de Palma
AMÉRIQUE LATINE Cône sud : Ricardo Jiménez
PACIFIQUE : Betsan Martin
Fondation Charles Léopold Mayer (FPH)
Président du conseil, Pierre Calame
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Personnes et organisations qui soutiennent l’APPEL AUX GOUVERNEMENTS
Organisations
INGENIEURS SANS FRONTIERES (France) : Tanguy MARTIN, Président
CENTRE DES JEUNES DIRIGEANTS pour une économie au service de l’Homme et de la Vie (France) : Michel MEUNIER, Président
Instituto Ágora em Defesa do Eleitor e de Democracia (Brésil) : Gilberto de Palma, Directeur Institutionnel
Alampyme.BR Associação Latinoamericana de Micro, Pequenas e Médias Empresas (Brésil) : Sergio Miletto, Président
APPEND (Philippines) : Virginia P. Juan, Présidente
THAINES & BODAH CENTRE FOR EDUCATION AND DEVELOPMENT (USA) : Eliane Thaines Bodah
CHANGE MOB-Project solutions (Brésil) : João Felipe Scarpelini, Président
FICEMÉA Fédération internationale des centres d’entraînement aux méthodes d’éducation active (Belgique) : Marc Geneve, Secretaire Général
Maximo T. Kalaw Institute for Sustainable Development (Philippines) : Sixto K. Rojas, Président
K+e Ventures, Asia (Philippines) : Eduardo Canela, propriétaire
Observatório da Mulher (Brésil) : Rachel Moreno, Coordinatrice générale
On Eagle’s Wings Development Foundation (Philippines) : Jeanne-Marie Obligacion-Bernardo, Directrice Exécutive
Red Peruana de Comercio Justo y Consumo Ético (Pérou) : Alfonso Cotera Fretel, Directeur Exécutif
Bina Swadaya/Self-Reliance Development Foundation (Indonésie) : Bambang Ismawan, Président
Life Learning Organization of PEACE Foundation (Philippines) : Pilar Habito, PDG
Instituto Ecoar para a Cidadania (Brésil) : Miriam Duailibi, Présidente
Instituto Polis (Brésil) : Hamilton Faria, Directeur
Instituto Hartmann Regueira (Brésil) : Cecília Regueira, Directrice exécutive
Escola de Governo (Brésil) : Maurício Jorge Piragino
Fórum Educação “Infançias e Escolas da Natureza” da Unirio (Brésil) : Léa Tiriba, Professeur adjoint
Our Voice (Indonesie) : Hartoyo
Nova Centre per a la Innovació Social (Catalogne, Espagne) : Martí Olivella, Directeur
AIM (Inde) : Sanjay K. Rai, Directeur
Centre for Social Research (Inde) : Dr. Ranjana Kumari, Directeur
Yaakah Enterprise (Népal) : Rajesh Bajracharya
South Asia Peace Alliance (SAPA) (Inde) : Vijay Bharatiya & Rita Roy, Secretariat SAPA
Urban Research Centre (Inde) : Gururaj Budhya, Secrétaire
Centre for Sri Lankan Studies (Sri Lanka) : Jagath Bandara, Directeur ; Waruni Chandrasena, Secrétaire
Sri Lanka United Nations Friendship Organisation (SUNFO) (Sri Lanka) : Deshapriya S. Wijetunge, Directeur Général
Global Call to Action against Poverty - GCAP National coalition in Sri Lanka
Global Youth Service Day Asia & Pacific Regional Partners Coordinating Center (Sri Lanka)
Eco Nest – Asha Sadam (Inde) : Ajit Muricken
Yayasan Tanah Merdeka (Indonésie) : LahmudinYoto, Directeur
Amigos do Meio Ambiente (AMA) etRede de Articulação e Mobilização em Comunicação Ambiental (RAMA) (Brésil) : Liliana Peixinho, Fondatrice et coordinatrice
Asamblea para la recuperaciòn del barrio Ejercito de los Andes (Argentine) : Miguel Ojeda, représentant de quartier pour l’organisation à Buenos Aires
Centro integral comunitario En-Haccore (Argentine) : Bilma Acuña, Directrice
[Asociación Civil Nuestro Hogar-http://www.redbocabarracas.org.ar/a...] (Argentine)e : Susana Funes, représentante de l’organisation
Movimiento en defensa de la vivienda familiar (Argentine) : Ernesto Paez, Président
Asociación Civil Hábitat y Vida (ACHYV) (Argentine) : José Chuza Ledesma, représentant
Federación Todos Juntos (Argentine) : Marina Thia, Présidente
Asociación Civil Sembrar Conciencia (Argentine) : José Acuña, représentant
Organización Social El Salvador por un Movimiento Afrouruguayo (Uruguay) : Rivero Ramón Orlando, Secrétaire
Confédération Française Démocratique du Travail (CFDT) (France) : Patrick Pierron, Secrétaire National
Initiative citoyenne pour un mode de vie durable au Québec (Québec, Canada) : Jean Quimet, Porteparole
Foundation for Rural Integrated Enterprises & Development (FRIEND) (Fidji) : Sashi Kiran, Fondateur et Directeur
Women in Europe for a Common Future (WECF) (Pays Bas, Allemagne, France) : Margriet Samwel, Coordinatrice Eau
Individus
Fábio Konder Comparato (Brésil) : Professeur Émérite à la Faculté de Droit de l’Université de São Paulo
Pedro B.A. Dallari (Brésil) : Professeur en droit international
Mireille ZUGMEYER (France) : retraitée
Carlinhos Antunes (Brésil) : Musicien et Historien
Gisela GOROVITZ (Brésil) : avocate et traductrice assermentée
John Clammer (Japon) : Professeur à l’Université des Nations Unies, Tokyo
Melvyn P. Lopez (États-Unis) : technologies de l’information
Maria Olivia Martin Santana (Brésil)
Raimundo Jerusalem Marques Mota (Brésil) : administrateur et producteur culturel
Pierre & Mi Jo Chevalier (France) : retraités
Brigitte Lesquier (France) : formatrice pour personnes âgées ou handicapées
Pierre Tourme (France) : retraité
Michelle Poirier (France) : retraitée
Médard Lebot (France) : retraité
Benito Lopulalan (Indonésie) : journaliste et conseiller de programme pour la fondation Jayasan Aksi Kui, benito.lopulalan@gmail.com
Marisa Greeb (Brésil) : Éducatrice, socio-dramatiste
Flávia Muniz Cirilo (Brésil) : Chanteuse compositrice
Caio Magri (Brésil) : Sociologue
Luiz Gabriel de Pieri (Brésil) : Physicien, 1er Secrétaire municipal à São Paolo du Parti Socialiste brésilien
Pedro Epifanio Syllos (Brésil) : Assistant à l’Instituto Fluminense de Assistência Comunitania
Malak Poppovic (Brésil) : Économiste et conseillère en droits de l’homme
Nicolas Gomez (Brésil) : Spécialiste en éducation à l’environnement et en architecture durable
Nathalie Gay (France) : cadre Sécurité Sociale
Yanto Salim (Indonésie) : Explorateur pétrole et gaz
Ana Maria Wilheim (Brésil) : sociologue
Alberto Lacuesta (Brésil)
Tri Hascaryo (Indonésie) : membre de Koperasi Realino
Ari Primantoro (Indonésie) : Bina Swadaya Ronsatta for Community Empowerment
Dr. Ananta Giri (Inde) : Asian Forum of Social Theory
Asit Das (Inde) : chercheur & activiste social
Dr. Subhash Sharma (Inde) : Professeur au Indus Business Academy
Naresh Pradhan (Népal) : COMMACT Nepal
F. Bambang Kuntjoro (Indonésie) : auto-entrepreneur
Yovita Hety Indriani (Indonésie) : éditeur
Budi Ain (Indonésie) : Forum Studi Realino
Robert EppeDando (Indonésie) : Président de KOMPPALA (Komunitas Petani Pelestari Alam / Farmer Community for Nature Conservation), KOMPIGAR (Komunitas Petani Gaharu / Farmer Community for AgarWood Cultivation), et FlosMIC (Flores MUSIC Center)
Lodewyk Heumasse (Indonésie) : Directeur d’assurance qualité chez PT. Konimex Pharmaceutical Laboratories
Yana Ismayana (Indonésie) : Chercheur, B_Trust Advisory Group
Greg S Uyanto (Indonésie) : employé d’une entreprise privée à Jakarta
Suadi Sa’ad (Indonésie) : Professeur à Dosen dan Pembantu Rektor III (Bidang Kemahasiswaan) Lembaga, et à Institut Agama Islam Negeri (IAIN)
Natalia Ita Septiana (Indonésie) : travaile pour Yayasan Bina Swadaya
Carlos Cesar Armando (Argentine) : Federación de las Villas y Barrios Carenciados
Alexander Silvera Correa (Uruguay) : membre de Organización Social El Salvador por un Movimiento Afrouruguayo
Placido Peñarrieta (Argentine) : Travailleur graphique et dirigeant de base à la Cooperativa de Trabajo Chilavert Artes Gráficas Ltda.
Gede Raka (Indonésie) : Consultant en management chez PT. Integre Quadro
Agus Purwadianto (Indonésie) : Professeur de Médecine légale, Université d’Indonésie, Jakarta ; Président du Conseil d’éthique - Indonesian Medical Association ; Vice-président de la Commission de Bioéthique Indonésienne
Hartoyo (Indonésie) : Membre de Ourvoice
Ari Primantoro (Indonésie) : Militant pour l’autonomisation des communautés à Bina Swadaya Konsultan
Adriana Guazzelli Charoux (Brésil) : Chercheuse
Maria Lúcia Grossi Zunti (Brésil) : Écrivain, historienne, Maître en Éducation / UFES, membre de Academia Feminina Espírito-Santense de Letras - AFESL
Muriel Auduc (Francia) : Facilitadora socio-cultural
Amaury Gourde (Francia) : Piloto de la Marina
Patrick Coeurdray (Francia) : Líder de asociación (Révéa Club Seniors)
Geneviève Caro (Francia) : Enfermera jubilada
Chico Whitaker (Brésil) : Membre de la Comissão Brasileira de Justiça e Paz, Prix Nobel Alternatif 2006
Rachel Trajber (Brésil) : Antropologue, lingüiste et educatrice environnementale
José Domingos Teixeira Vasconcelos (Brésil) : Physicien, cherheur en éducation scientifique
Pedro Piccolo Contesini (Brésil) : Sociologue
Eliseu Gabriel (Brésil) : Conseiller Municipalité de São Paulo
Adriana Guazzelli Charoux (Brésil) : Chercheuse
Antoine Garapon (France) : Juriste
[2] Ci-joint un avant-projet de Charte des responsabilités universelles pour donner une idée de ce pourrait être cette charte.